martedì 10 luglio 2012
Babel forever (una vecchia nota, reloaded per i tempi) (penso che BISOGNI diventare molteplici)
Hiéroglyphes de l’hystérie, blasons de la phobie, labyrinthes de la Zwangsneurose, - charmes de l’impuissance, énigmes de l’inhibition, oracles de l’angoisse, - armes parlantes du caractère, sceaux de l’auto-punition, déguisements de la perversion, - tels sont les hermétismes que notre exégèse résout, les équivoques que notre invocation dissout, les artifices que notre dialectique absout, dans une délivrance du sens emprisonné, qui va de la révélation du palimpseste au mot donné du mystère et au pardon de la parole.
A regal soul, inadvertently surrendering to the crab of lust, the octopus of weakmindedness, the shark of individual abjection, the boa of absent morality, and the monstrous snail of idiocy!
Ame royale, livrée, dans un moment d’oubli, au crabe de la débauche, au poulpe de la faiblesse de caractère, au requin de l’abjection individuelle, au boa de la morale absente, et au colimaçon monstrueux de l’idiotisme !
Le langage mange le réel. (Speech eats up the Real).
Leave the letter that never begins to go find the latter that ever comes to end, written in smoke and blurred by mist and signed of solitude, sealed at night.
railroad yard in San Jose
I wandered desolate
in front of a tank factory
and sat on a bench
near the switchman's shack.
A flower lay on the hay on
the asphalt highway
--the dread hay flower
I thought--It had a
brittle black stem and
corolla of yellowish dirty
spikes like Jesus' inchlong
crown, and a soiled
dry center cotton tuft
like a used shaving brush
that's been lying under
the garage for a year.
Yellow, yellow flower, and
flower of industry,
tough spiky ugly flower,
flower nonetheless,
with the form of the great yellow
Rose in your brain!
This is the flower of the World.
Jeroglíficos de la histeria, blasones de la fobia, laberintos de la Zwangsneurose; encantos de la impotencia, enigmas de la inhibición, oráculos de la angustia; armas parlantes del carácter, sellos del autocastigo, disfraces de la perversión; tales son los hermetismos que nuestra exégesis resuelve, los equívocos que nuestra invocación disuelve, los artificios que nuestra dialéctica absuelve, en una liberación del sentido aprisionado que va desde la revelación del palimpsesto hasta la palabra dada del misterio y el perdón de la palabra.
[Les perturbations, les anxiétés, les dépravations, la mort, les exceptions dans l’ordre physique ou moral, l’esprit de négation, les abrutissements, les hallucinations servies par la volonté, les tourments, la destruction, les renversements, les larmes, les insatiabilités, les asservissements, les imaginations creusantes, les romans, ce qui est inattendu, ce qu’il ne faut pas faire, les singularités chimiques de vautour mystérieux qui guette la charogne de quelque illusion morte, les expériences précoces et avortées, les obscurités à carapace de punaise, la monomanie terrible de l’orgueil, l’inoculation des stupeurs profondes, les oraisons funèbres, les envies, les trahisons, les tyrannies, les impiétés, les irritations, les acrimonies, les incartades agressives, la démence, le spleen, les épouvantements raisonnés, les inquiétudes étranges, que le lecteur préférerait ne pas éprouver, les grimaces, les névroses, les filières sanglantes par lesquelles on fait passer la logique aux abois, les exagérations, l’absence de sincérité, les scies, les platitudes, le sombre, le lugubre, les enfantements pires que les meurtres, les passions, le clan des romanciers de cours d’assises, les tragédies, les odes, les mélodrames, les extrêmes présentés à perpétuité, la raison impunément sifflée, les odeurs de poule mouillée, les affadissements, les grenouilles, les poulpes, les requins, le simoun des déserts, ce qui est somnambule, louche, nocturne, somnifère, noctambule, visqueux, phoque parlant, équivoque, poitrinaire, spasmodique, aphrodisiaque, anémique, borgne, hermaphrodite, bâtard, albinos, pédéraste, phénomène d’aquarium et femme à barbe, les heures soûles du découragement taciturne, les fantaisies, les Acrotés, les monstres, les syllogismes démoralisateurs, les ordures, ce qui ne réfléchit pas comme l’enfant, la désolation, ce mancenillier intellectuel, les chancres parfumés, les cuisses aux camélias, la culpabilité d’un écrivain qui roule sur la pente du néant et se méprise lui-même avec des cris joyeux, les remords, les hypocrisies, les perspectives vagues qui vous broient dans leurs engrenages imperceptibles, les crachats sérieux sur les axiomes sacrés, la vermine et ses chatouillements insinuants, les préfaces insensées, comme celles de Cromwell, de Mlle de Maupin et de Dumas fils, les caducités, les impuissances, les blasphèmes, les asphyxies, les étouffements, les rages...
et beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie!]
J. Lacan, "Écrits".
J. Joyce, "Finnegans Wake".
S. Kristeva, "Pouvoirs de l'horreur".
S. Kristeva, "La Révolution du Langage Poétique"
Lautréamont, "Chants de Maldoror", "Poésies".
J. Lacan, "Seminaire 23- Le sinthome".
J. Bishop, "Joyce's book of the dark".
Allen Ginsberg, "In back of the real"
[aggiungere quadri, immagini, suoni, altre parole-
elaborarli e trasformarli-
analisi paranoico-critica]
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